jeudi 30 juillet 2015

Me réconcilier avec ma balance: acte 2, le retour!

Chouette vécu

Depuis quelques jours, j'ai décidé de changer.  Non, rassurez-vous, je ne change pas de vie, de femme ou de travail.  Non, je me change moi!  Régime, sport et moins de stress.  Après avoir vu un psychologue de la clinique de l'obésité de la clinique sainte-Elisabeth, hier, j'ai testé le vélo d'appartement!

120, 123, sans doute 124 ou 125 kg, ma mémoire est incertaine mais mon cœur, lui, n'oublie pas!  De toute façon, le couperet est tombé: pour 1m85, c'est trop, beaucoup trop.  Objectif: 100 kilos.  Aussi, j'ai pris le taureau par les cornes, on fait le point chez le généraliste (avec une prise de sang), chez le dentiste (c'est accessoire), chez le cardiologue, chez un psychologue, dans un centre de fitness, chez une diététicienne et, peut-être, chez un kiné.

Si mon tour de taille va diminuer, le tour de l'horloge, lui, ne changera pas: 60 minutes dans une heures et 24 heures en une journée, pas une de plus.  Il va donc falloir s'organiser et ressortir le vélo ... d'appartement!  Après une journée de travail, on se retrouve en short, t-shirt, chaussettes et sandalettes, le must du bon goût!

J'ai programmé la bête sur 30 minutes. Contact et d'emblée, mes jambes beaucoup trop vite.  Pourtant, le rythme cardiaque reste stable, sous les 100 battements par minute.  J'augmente le niveau de difficulté toutes les 5 minutes.  Au bout de 10 minutes, je suis à 117 pulsations par minute, l'effort s'intensifie encore. Après 15 minutes, on en est à 120, à 135 au bout de 20 minutes et 145 à 25 minutes.  Il me reste 5 minutes et je fais baisser progressivement l'intensité de l'effort.  

Au bilan, j'ai perdu quelques calories, j'ai gagné un peu de souffle et j'ai bien dormi.      

mercredi 29 juillet 2015

La relève serait-elle assurée?

Chouette stage

Aujourd'hui, pourquoi le cacher, je suis heu-reux!  Non, je n'ai pas troqué mon poste de chargé de communication du secteur médicosocial de la Province de Namur ou mes casquettes de journaliste, rédacteur-en-chef et webmaster de Namurchouette (normal, je suis tout seul) pour un képi et un uniforme de douanier.   Simplement, je suis heureux parce que je vais rencontrer un candidat stagiaire!

Les plus fidèles d'entre vous le savent, Namurchouette a pu compter, en son temps, sur les étudiants de l'Ecole Supérieure des Affaires de Namur (section Relations publiques).  Shantalä Debliquy, une des chevilles ouvrières de ce groupe a même effectué son stage de fin d'année sur les ondes de la Radio Universitaire Namuroise (88.7 FM ou www.run.be) pour tenter d'augmenter l'audience de notre émission radio (qui reprendra dès le mois de septembre).  

Mais, depuis près d'un an, plus rien!  Enfin, après un long tunnel, le projet Namurchouette retrouve la lumière: les consultations de ce blog ne cessent d'augmenter, nous aurons sans doute un stagiaire et du 10 au 14 août un stage radio permettra à toutes celles et ceux qui ont des choses à dire de se former à la pratique radiophonique et de venir nous rejoindre dans cette belle aventure d'information positive (au fait, il reste des places https://www.facebook.com/events/657624114370265/).  Mieux, du 17 au 21 août, votre serviteur suivra un stage consacrée à la Web TV.  Pas impossible que, dans les mois qui viennent, on trouve ici des séquences vidéo.  Enfin nous consacrerons aussi cette fin de vacances à la création d'un compte SoundCloud qui permettra de "postcaster" nos séquences radio.   

Mais, finalement, est-ce vraiment là l'important?  Oui pour les amoureux de la technique.  Pour moi, l'essentiel réside dans la nécessité de créer un échange de vues avec celles et ceux pour qui Namur est bien plus que la somme des critiques. Loin d'un optimisme béat, Namurchouette se veut une initiative constructive qui, pour vivre ou survivre, a besoin de vous, de vos commentaires, suggestions ou autres encouragements! 

Alors, finalement, soyez chouette et n'oubliez pas de nous donner votre avis!  

mardi 28 juillet 2015

Me réconcilier avec ma balance!

Chouette vécu

Depuis longtemps, la balance et moi, on est fâché.  Rien de catastrophique ... mais c'est contagieux!  Et oui, la balance a monté mes vêtements contre moi, ils se sont mis à rétrécir.  Du coups, s'emballe à chaque escalier et mon souffle me lâche.  Si on ajoute les commentaires des amis, collègues, familles ... ça fait beaucoup!


Décision radical 

Cette fois, c'est décidé, j'agis. Visite chez le psy, la diététicienne, le cardiologue et même le kiné et la salle de fitness, la totale!

Depuis la création de ce blog, je parle beaucoup de ce qui se passe à Namur et peu de moi, reniant de la sorte la nature même d'un blog (à la base journal intime sur le net).  Aujourd'hui, je me dis que le côté chouette serait sans doute le partage d'expérience, de trucs et astuces pour se rendre la vie plus belle et plus facile.

Chez le psy

Hier, 13h30, j'étais à la clinique de l'obésité (j'aurais préféré surpoids) à la clinique Sainte-Elisabeth de Namur.  Le psy, premier passage d'un régime bien pensé.  Et là, quelques idées reçues tombent.  Non, ce n'est pas en s'accusant de tous les maux que l'on va perdre des kilos.  Perdre du poids, c'est d'abord accepter ses formes superflues.  Quand on a compris le concept, on sait aussi qu'on ne peut que se changer soi-même.  Donc si on mange parce que les autres nous énervent, il y a fort à parler qu'on ne changera pas la cause de notre énervement

Même si nous devons nous changer, cela ne se fait pas en un jour. Une première astuce: d'abord s'observer.  Pendant quelques semaines, je vais noter, dans un cahier ce que je mange, leur à laquelle je mange et je décrirai à peu près l'état d'esprit dans lequel je serai au moment où je mange.  

Voilà, c'est une première étape.  Deuxième épisode, mardi prochain chez le cardiologue et la diététicienne.

       
    
 

 

vendredi 24 juillet 2015

20 ans, chouette âge pour "Li Chwès"

On en parle tellement qu'on peut penser qu'il a toujours existé.  Institution salutaire pour certains, entreprise iconoclaste pour d'autres, "Li Chwès", le seul journal en wallon a fait son petit bonhomme de chemin.  Aujourd'hui, l'idée un peu folle a bien grandi et pour célébrer ses 20 ans a sorti un bouquin.

Journalisme écrit en français et en wallon, organisation de pièces de théâtre, écriture de livres en wallon ou émissions radio, Charles Massaux est infatigable et "Li Grand Châle" comme l'aiment à l'appeler les "Walloneux" entraîne son Chwès dans ses aventures.

Cette somme de rencontres, l'homme a voulu la présenter à ses lecteurs les plus célèbres.  c'est ainsi qu'est né "Dès Chwès qu'ont faît r'glatî l'nom d'leû vîye cité", une brochure au format carré d'une centaine de pages. Comme son nom l'indique, c'est une évocation de différents namurois célèbres dans les domaines les plus diverses, allant de la littérature à la peinture en passant par le théâtre, le cinéma ou l'histoire. A la manière d'André Dulière, dont il est un des plus fervents admirateurs, Charles Massaux a voulu épingler quelques grand noms trop souvent oubliés.  Et de proposer aux lecteurs un texte français à côté de la traditionnelle version wallonne, histoire d'enfoncer un peu plus clou!

Un livre pour qui?

Dans l'esprit de son auteur, le bouquin s'adresse, entre autres aux jeunes afin qu'ils nous oublient pas ses racines mais on peut penser qu'il constitue aussi un excellent véhicule pour qui souhaiterait s'offrir un petit voyage en nostalgie. 
Entre les amoureux de la première heure de la langue et de la culture wallonne et le nouveau public qui en découvre toute la saveur, l'ouvrage a l'ambition de servir de trait d'union.

Pour le découvrir: 

"Li Chwès", rue des Granges, 4 - 5100 Wépion - Tél. + Fax: 081/46.01.51. charles.massaux@skynet.be

jeudi 23 juillet 2015

Découvrez Namur micro en main



Namur Formation radio

Depuis plusieurs années, le projet Namurchouette permet aux Namurois de découvrir de nombreuses informations positives sur leur région.  Aujourd’hui ses responsables vont un pas plus loin en proposant aux auditeurs de réaliser eux-mêmes des reportages radiophoniques sur les quartiers de Namur et leurs commerçants. Un stage leur est proposé entre le 10 et le 14 août, de 10 à 16h et de 17h30 à 20h.
 
Traditionnellement, le mois de septembre est le mois namurois par excellence.  Entre la rentrée, les fêtes de Wallonie et le Festival international du film francophone, les quartiers et les commerçants de la Capitale wallonne verront défiler un nombre incalculable de visiteurs.  

«A la Radio Universitaire Namuroise et à Namurchouette, nous nous y préparons, expliquent les responsables du projet.  Nous prévoyons une série de petits reportages créés sur les spécificités des différents quartiers, leurs programmes durant les fêtes de Wallonie, l’histoire de leurs commerçants, bref, tout ce qui fait le charme de notre cité mosane

Originalité du concept: demander à des néophytes de se charger de ces réalisations au sein d’une formation du 10 au 14 août avec le concours de la Régionale namuroise de Présence et Action Culturelles et de la Banque Paribas Fortis.



«Nous tenterons de rester au plus près de la pratique professionnelle en bannissant le plus possible les séances de théorie magistrale au profit d’une pédagogie dite du «projet».  Ce «projet» est de réaliser ensemble (stagiaires et formateur) une émission radiophonique d’une durée de 30 à 60 minutes et composée 5 à 9 reportages d’une durée maximale de trois minutes.  À cela doit s’ajouter une partie animation et une programmation musicale adaptée tant au thème de la production qu’au ton choisi par le groupe.   Nous aborderons les cinq «métiers» compris dans l’activité radiophonique: la production, la programmation, le journalisme, l’animation et la technique. En travaillant par groupe et en changeant chaque jour de tâche, chaque stagiaire touche à chacun de ces cinq domaines                           

A noter: Formation radio de «Namurchouette»: 0473/61.34.71. ou namurchouette@gmail.com
 

mercredi 22 juillet 2015

"Le Namurois": une certaine idée de Namur

Un webzine qui parle de la région namuroise, l'idée n'est pas neuve.  Certains ont lancé une vision positive de l'actualité namuroise (Namurchouette) et d'autres se sont attelés à mettre en valeur le potentiel de cette belle région.  Il y a 10 ans déjà, c'était l'objectif de Laurent Frémal.  Mais, ayant trop peu de moyens, il avait dû stopper son élan.  Tous les Namurois seraient-ils alors résignés devant la sinistrose ambiante?  Tous?  Non!  Un groupe de valeureux optimistes viennent de relancer le concept sous forme de site internet, son nom: www.le-namurois.com.

Disons-le tout net, ce "Namurois" n'a rien du média journalistique d'information.  Et ces concepteurs de le revendiquer: "Le Namurois" souhaite valoriser au maximum les différents acteurs de la province de Namur dans une démarche d'amateurs, au sens noble du terme.  Il s'agit d'entraîner les surfeurs à la rencontre des artisans et entreprises qui font la richesse de la province.  

Alors, "Le Namurois" se positionne comme un catalyseur de la vitalité économique de la province? 

Oui, sans doute, mais pas seulement!  l'équipe a aussi l'ambition des présenter des personnes qui sortent de l'ordinaire.  Donc, "Le Namurois", c'est aussi une collection de personnalités peu banales?  Oui, mais pas seulement...C'est aussi une volonté de mise en valeur des entreprises et commerces de proximité.  

Et ces (trop?) nombreux objectifs de devenir une force mais aussi une faiblesse du nouveau concept.  A y regarder de plus près, l'initiative permet aux Namurois, et aux autres, de se pencher sur leurs racines, cultures et entreprises locales.  A ce titre, elle a le mérite d'exister.  Mais, malheureusement dirons certains, c'est aussi, n'en déplaise à ses concepteurs, une entreprises commerciales dont le but est la mise en valeur de l'activité de chacun des chroniqueurs.  Est-ce vraiment rédhibitoire? Non, à condition que les membres de l'équipe soient de vrais pros dans leurs domaines et qu'on ne présente pas le nouveau venu comme un vrai site d'actualités objectif.  Après, à vous de vous forger votre propre opinion: www.le-namurois.com

vendredi 17 juillet 2015

Le Tour de la province de Namur

Giro, Vuelta, Tour de France, des Flandres ou de Wallonie, pas à dire, dans nos contrées, on aime le vélo.  La province de Namur n'échappe pas à la règle.  Ainsi, outre la nomination de l'ancien cycliste professionnel Olivier Kaisen comme "Ambassadeur sportif de la Province de Namur", l’institution provinciale namuroise soutient depuis de très nombreuses années, le Tour de la province de Namur. En cet été 2015, le Royal Namur Vélo nous a concocté un «68ème Tour cycliste de la province de Namur» qui restera dans les mémoires. 

L'anti-chambre du "Pro-Tour"?

L'épreuve cycliste, réservée aux espoirs et aux élites (professionnels) sans contrat est rodée. La renommée du Tour de la province de Namur  a dépassé les frontières. Pas étonnant dès lors que l'on retrouve en compétition des équipes internationales (ont déjà pris le départ du TPN les équipes nationales des États-Unis, de France, des Pays-Bas, de Russie, du Danemark…), sans compter les équipes de marques. Des équipes qui se bousculent au portillon en nombre, mais qui n'obtiennent pas toutes le sésame leur permettant d'accéder au Tour. La sélection est rude.

Et la reconnaissance de l'épreuve ne s'arrête pas là. La chose fait d'ailleurs – et on peut le comprendre – la fierté des organisateurs : chaque année, de grands patrons des équipes professionnelles viennent au TPN afin de voir plusieurs coureurs qui, à l'issue de la compétition, signent leur contrat professionnel. Ce fut le cas, entre autres, de Maxime Montfort, Gianni Meersman ou encore Philippe Gilbert.  Alors, le vainqueur de cette édition 2015 décrochera-t-il un jour le maillot jaune sur les Champs Élysées? ... A voir!

Les rendez-vous

  • Mercredi 5 août : Profondeville - Philippeville (159 kilomètres)
  • Jeudi 6  août : Gedinne - Bièvre (155 kilomètres)
  • Vendredi 7 août : Florennes - Walcourt (157 kilomètres)
  • Samedi 8 août : Gesves – Somme-Leuze (160 kilomètres)
  • Dimanche 9 août : Jemeppe-sur-Sambre – Namur (Citadelle) (156 kilomètres)