La musique d'abord
Au-delà de l'ambiance latino, qui colle au soleil namurois, les organisateurs nous ont proposé une réelle découverte avec un groupe ukrainien. Les costumes, les rythmes mais aussi la modernité des œuvres, le tout formait une osmose pour le plus grand plaisir des yeux et des oreilles.
Mais surtout l'idée d'un monde meilleur
Esperanzah, ce sont les rapports Nord-Sud. Toute l'année, les Namurois n'ont que le programme fédéral "Annoncer la Couleur" pour transmettre ce type de valeurs à leurs enfants. Esperanzah, c'est une leçon de vie à ciel ouvert, le livre d'une histoire contemporaine réécrite depuis les Crédals jusqu'aux stands proposés, tout nous pousse vers cet ailleurs. Dans les allées de la superbe abbaye, on peut poursuive l'aventure grâce à Radio Esperanzah. Dans trois classes du séminaires, une vingtaine de passionnés enregistrent, écrivent, montent et stressent aussi avant d'animer des émissions en direct. une préparation de grande envergure puisque les réunions débutent au mois de février. Cette joyeuse bande relate l'invisible: le petit stand d'asbl devant lequel tout le monde passe sans jamais s'arrêter, les artistes débutants ou confirmés qui viennent confier leur tract, présenter leur show ou juste bavarder autour d'un verre en refaisant le monde.
Si Esperanzah est un formidable réservoir d'espoir, c'est aussi un grenier à solutions pour le monde d'aujourd'hui, de "l'ici et maintenant". Prévention SIDA dans une ambiance festive avec la Province de Namur, soirées plus sûres grâce au label Quality Night et l'association Modus Vivendi, des idées de voyages avec le Bureau International de Jeunesse ou des solutions un monde plus durable grâce à des stands comme les "repair'Cafés", tout cela est possible. Enfin, reste la nourriture, une férie de couleurs, une farandoles d'odeurs et une symphonie de saveurs pour qui sait choisir son exotisme.
Au-delà de l'ambiance latino, qui colle au soleil namurois, les organisateurs nous ont proposé une réelle découverte avec un groupe ukrainien. Les costumes, les rythmes mais aussi la modernité des œuvres, le tout formait une osmose pour le plus grand plaisir des yeux et des oreilles. Esperanzah, ce sont les rapports Nord-Sud. Toute l'année, les Namurois n'ont que le programme fédéral "Annoncer la Couleur" pour transmettre ce type de valeurs à leurs enfants. Esperanzah, c'est une leçon de vie à ciel ouvert, le livre d'une histoire contemporaine réécrite depuis les Crédals jusqu'aux stands proposés, tout nous pousse vers cet ailleurs. Dans les allées de la superbe abbaye, on peut poursuive l'aventure grâce à Radio Esperanzah. Dans trois classes du séminaires, une vingtaine de passionnés enregistrent, écrivent, montent et stressent aussi avant d'animer des émissions en direct. une préparation de grande envergure puisque les réunions débutent au mois de février. Cette joyeuse bande relate l'invisible: le petit stand d'asbl devant lequel tout le monde passe sans jamais s'arrêter, les artistes débutants ou confirmés qui viennent confier leur tract, présenter leur show ou juste bavarder autour d'un verre en refaisant le monde.
Une meilleure vision du monde actuel
Si Esperanzah est un formidable réservoir d'espoir, c'est aussi un grenier à solutions pour le monde d'aujourd'hui, de "l'ici et maintenant". Prévention SIDA dans une ambiance festive avec la Province de Namur, soirées plus sûres grâce au label Quality Night et l'association Modus Vivendi, des idées de voyages avec le Bureau International de Jeunesse ou des solutions un monde plus durable grâce à des stands comme les "repair'Cafés", tout cela est possible. Enfin, reste la nourriture, une férie de couleurs, une farandoles d'odeurs et une symphonie de saveurs pour qui sait choisir son exotisme.
Ce vendredi est déjà le deuxième jour d'un festival qui, exceptionnellement en compte quatre. Alors, n'hésitez plus et venez y faire un tour.
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