jeudi 20 juin 2013

Le temps de l'action

Nous avons constaté que les étudiants de sections communication manquent souvent de pratique de terrain. Les quelques heures du stage annuel ne suffisent pas à les transformer en professionnels aguerris. Dans le même temps, le milieu professionnel recherche de plus en plus des travailleurs aux CV bourrés d’expériences.  Le premier axe de travail de ce projet est donc d’offrir aux élèves et étudiants de la filière communication une opportunité de confronter la théorie apprise en milieu scolaire et la réalité du terrain. Ce constat pouvant être fait pour une majorité de sections scolaires, nous tenterons, tout au long de ce projet, d’y appliquer le plus d’écoles possible.

La crise touche durement tous les milieux économiques, sociaux ou culturels.  «La situation est désespérée, restons optimistes et gardons le pessimisme pour des jours meilleurs – W. Churchill».  Respectant cet état d’esprit, nous avons choisi de voir la bouteille à moitié pleine plutôt que de l’imaginer à moitié vide.  Nous combattons ainsi la sinistrose issue du manque de confiance en soi des Wallons en général et des Namurois en particulier, de l’effet NIMBY (Not In My Yard – Pas chez moi) et de cette croyance que l’herbe est toujours plus verte ailleurs.  L’information positive et sa diffusion sont donc au centre du deuxième axe de travail de ce projet.

La crise économique explique une réduction des budgets alloués aux jeunes des quartiers défavorisés.  Ces zones d’habitat urbain ou péri-urbain subissent donc une double peine puisque, parallèlement, leurs réputations et celles de leurs habitants ne cessent de se détériorer auprès du grand public.  Le troisième et dernier axe de travail de ce projet s’appliquera donc à donner la parole à ces jeunes sans voix.

Vous voulez nous aider? namurchouette@gmail.com - 0473/613471

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